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On aura tout vu.
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Commentaires
Par comme-un-puzzle-eclate le Dimanche 10 septembre 2006 à 12:25
Je me reconnais bien là dans ton texte, je crois que quand on est dans ses phases rien n'y fait et personne ne comprends. Mais aprés tout on attends pas d'eux qu'ils comprennent je crois. Quoi qu'il en soit bon courage
Par le Dimanche 10 septembre 2006 à 13:26
Oui je comprends aussi, enfin je me transpose facilement parce que personne peut vraiment compredre.. Moi cette periode remonte à 2 ans ou 3 je rentrais en L aussi lol, et beh bon je vais pas raconté ma vie lol... ^^
Par le Lundi 11 septembre 2006 à 19:02
Décidemment... ça me trouble. Toi et moi, on est trop pareil.
J'ai tellement envie, moi aussi, d'une épaule sur laquelle poser ma tête, fermer les yeux, et laisser les larmes couler. J'ai envie de quelqu'un qui arrête de me juger, quelqu'un de différent de ceux que je vois chaques jours. Non, je ne suis pas heureuse avec ceux avec qui je suis. J'ai un manque affectif, un manque de contact physique, comme un meilleur amie pose sa main sur toi, te regarde dans les yeux et te dit, profondemment : "je suis là, Chloé, et je serai toujours là pour toi..."
Le fait de ne pas pouvoir voir certaines personnes qui combleraient sans doutes ce manque empire encore les faits... J'attends avec impatience le jour où Il viendra enfouir sa tête dans mon cou, me dire qu'il m'aime, comme j'attends le jour où je pourrai Le voir, comme un meilleur ami. Et j'attends le jour où je pourrai Le revoir, tourner cette page, aller à Strasbourg avec lui. Je crois que ces trois personnes sont les plus chères à mes yeux, à ce jour, et je crois qu'elles le sont aussi parce que je ne peux aps les voirs.
Et toi, tu me trouble, parce que avec nos trois mots échangés et ta gentillesse débordante, j'ai envie de te connaître, j'ai envie d'apprendre à te connaître. Alors qu'il m'a fallut plus que trois mots pour aimer les trois autres.
Tu me trouble, parce que je n'ai jamais ressenti ça. Ca me trouble, parce que je ne sais pas ce que c'est. Peut-être parce qu'on se ressemble. Et surtout, il me semble, parce que j'ai trouvé en toi ce que je cherchai.
Un jeune homme qui déballait sa vie dans l'Art...
Oui, je crois que c'est ça. Je peux te lire. Je sais ce que tu as dans ton coeur. Et en aucun de ces trois personnes je n'ai jamais rien pu voir. J'ai raconté, sans jamais lire.
Ca me manquait. Merci de m'avoir offert, inconsiemment, le cadeau de tes pensées, ainsi que ta gentillesse...
J'ai tellement envie, moi aussi, d'une épaule sur laquelle poser ma tête, fermer les yeux, et laisser les larmes couler. J'ai envie de quelqu'un qui arrête de me juger, quelqu'un de différent de ceux que je vois chaques jours. Non, je ne suis pas heureuse avec ceux avec qui je suis. J'ai un manque affectif, un manque de contact physique, comme un meilleur amie pose sa main sur toi, te regarde dans les yeux et te dit, profondemment : "je suis là, Chloé, et je serai toujours là pour toi..."
Le fait de ne pas pouvoir voir certaines personnes qui combleraient sans doutes ce manque empire encore les faits... J'attends avec impatience le jour où Il viendra enfouir sa tête dans mon cou, me dire qu'il m'aime, comme j'attends le jour où je pourrai Le voir, comme un meilleur ami. Et j'attends le jour où je pourrai Le revoir, tourner cette page, aller à Strasbourg avec lui. Je crois que ces trois personnes sont les plus chères à mes yeux, à ce jour, et je crois qu'elles le sont aussi parce que je ne peux aps les voirs.
Et toi, tu me trouble, parce que avec nos trois mots échangés et ta gentillesse débordante, j'ai envie de te connaître, j'ai envie d'apprendre à te connaître. Alors qu'il m'a fallut plus que trois mots pour aimer les trois autres.
Tu me trouble, parce que je n'ai jamais ressenti ça. Ca me trouble, parce que je ne sais pas ce que c'est. Peut-être parce qu'on se ressemble. Et surtout, il me semble, parce que j'ai trouvé en toi ce que je cherchai.
Un jeune homme qui déballait sa vie dans l'Art...
Oui, je crois que c'est ça. Je peux te lire. Je sais ce que tu as dans ton coeur. Et en aucun de ces trois personnes je n'ai jamais rien pu voir. J'ai raconté, sans jamais lire.
Ca me manquait. Merci de m'avoir offert, inconsiemment, le cadeau de tes pensées, ainsi que ta gentillesse...
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