Vole...vole au gré du vent.
Ce soir, je ne sais même pas pourquoi je fais un article... Ce soir, j'avais juste besoin d'écrire. D'écrire, alors que Julie, amie nocturne très chère, ou surnommée "La Valdhazis de la Nuit", discute avec moi... Ce soir je prend ma plume, pour la laisser un peu voler. Ce matin, je me suis levé avec une nouvelle image en tête...l'image d'un vélo qui dévalait une pente, avec un jeune garçon et une jeune fille dessus. Deux jeunes adolescents qui s'aiment... Je me suis levé avec cette idée que j'ai couchée sur le papier, après avoir siroté mon thé, tout seul dans la cuisine. Ma plume s'est de nouveau réveillée, à l'assaut d'une nouvelle idée, d'une nouvelle musique, toujours la même chanson. Mais aujourd'hui, il y a toujours ce même visage...qui trotte dans ma tête...ce sourire... Ma plume écrit, je ne saurais dire quoi, mais elle écrit.
On ne remercie jamais assez les amis qui nous soutiennent quoi qu'il arrive. Je crois qu'il est temps de faire un immense hommage à Julie. A Julie qui, je ne le croyais pas, est restée là...quoi qu'il arrive. A Julie qui a réussi néanmmoins à me ramener. Lucie disait qu'on ne remercie jamais assez les personnes qui sont là...toujours...à veiller sur nous...ces anges gardiens... Julie, je ne te remercierais jamais assez, pour ce que tu es, pour ce que tu as fait...Parce que tu es merveilleuse...tout simplement merveilleuse...
Mes plus plates excuses maintenant à Fanny, qui a subit (encore une fois) mes accès de colère. Désolé, mais le commentaire que tu as laissé pour l'article sur FFVII, avait prit une autre tournure dans mon esprit et par conséquent, ça ne touchait plus les Final Fantasy (je sais que tu détestes) mais plus ma personnalité... Donc désolé... Désolé...Désolé...Miiii....
Ce sourire...j'ai l'impression que de nouveaux horizons s'ouvrent à moi... J'ai l'impression de voir un paysage vide devant moi, qui n'attend que moi pour se remplir... J'ai l'impression d'avoir quitté une lande morte où j'errais. Depuis cinq minutes...je vois un soleil... Sylvain est revenu...Sous forme de spectre, mais bien là, souriant...Il est là avec Cathy, près du chemin... Je suis sorti enfin...j'émerge... Il n'y a plus de terrain derrière moi...il n'y a que devant... Je veux oublier, prendre la main, contempler ce sourire, que je m'offre, qu'elle m'offre, que tout le monde offre. La porte de cette immonde bâtisse est fermée avec un être à l'intérieur qui n'attend que de sortir et de se remanifester, mais je lui assignerais encore un coup qui fera mal, qui le fera taire. Je me souris... Je peux partir...sur ce nouveau chemin.
La plume écrit les derniers mots de ce qui devrait être les mémoires de cette bataille. Le livre se referme et se range dans les étagères d'une vie. Un nouveau ouvrage, bleu ciel, vient se poser devant moi, la page de garde vierge... où lentement, la plume à murmures écrit en lettres d'argent.
On ne remercie jamais assez les amis qui nous soutiennent quoi qu'il arrive. Je crois qu'il est temps de faire un immense hommage à Julie. A Julie qui, je ne le croyais pas, est restée là...quoi qu'il arrive. A Julie qui a réussi néanmmoins à me ramener. Lucie disait qu'on ne remercie jamais assez les personnes qui sont là...toujours...à veiller sur nous...ces anges gardiens... Julie, je ne te remercierais jamais assez, pour ce que tu es, pour ce que tu as fait...Parce que tu es merveilleuse...tout simplement merveilleuse...
Mes plus plates excuses maintenant à Fanny, qui a subit (encore une fois) mes accès de colère. Désolé, mais le commentaire que tu as laissé pour l'article sur FFVII, avait prit une autre tournure dans mon esprit et par conséquent, ça ne touchait plus les Final Fantasy (je sais que tu détestes) mais plus ma personnalité... Donc désolé... Désolé...Désolé...Miiii....
Ce sourire...j'ai l'impression que de nouveaux horizons s'ouvrent à moi... J'ai l'impression de voir un paysage vide devant moi, qui n'attend que moi pour se remplir... J'ai l'impression d'avoir quitté une lande morte où j'errais. Depuis cinq minutes...je vois un soleil... Sylvain est revenu...Sous forme de spectre, mais bien là, souriant...Il est là avec Cathy, près du chemin... Je suis sorti enfin...j'émerge... Il n'y a plus de terrain derrière moi...il n'y a que devant... Je veux oublier, prendre la main, contempler ce sourire, que je m'offre, qu'elle m'offre, que tout le monde offre. La porte de cette immonde bâtisse est fermée avec un être à l'intérieur qui n'attend que de sortir et de se remanifester, mais je lui assignerais encore un coup qui fera mal, qui le fera taire. Je me souris... Je peux partir...sur ce nouveau chemin.
La plume écrit les derniers mots de ce qui devrait être les mémoires de cette bataille. Le livre se referme et se range dans les étagères d'une vie. Un nouveau ouvrage, bleu ciel, vient se poser devant moi, la page de garde vierge... où lentement, la plume à murmures écrit en lettres d'argent.
Quand la plume vole au gré du vent.
récit d'une renaissance.
récit d'une renaissance.
Mon Tinépi, je crois que c'est là que je peux le dire: je suis fière de toi.