Dimanche 11 juin 2006 à 23:50


Quand les mots transportent

J'voudrais débuter cet article tardif, par un hommage à ceux qui débutent les épreuves du Bac demain (premières comme terminales). Merde à tous, soyiez confiants, croyez en vous...

Voilà une semaine déjà où je reviens sur ces textes que l'on a déjà vu, et un sens nouveau m'étreint. Les mots s'envolent, résonnent, ricochent dans ma tête...chacun prend un sens nouveau, je découvre le poids des mots...

Chaque auteur me paraît grand homme, il me fascine et me séduit, m'emmène avec lui dans un monde où j'arrive à comprendre, où le plaisir prend place...

Là où certains trouvent un exercice fastidieux et contraignant, je trouve un plaisir et du bonheur...j'avance plus vite...l'analyse tombe sous le sens, les cours me reviennent à l'esprit...J'exalte. Une douce musique emplit mon esprit, elle accompagne les mots dans une douce mélopée enchanteresse. Chaque texte me transporte, je pense à ces hommes qui écrivent ça. Je suis presque heureux pour eux qu'il y ait encore des gens pour les admirer et aimer ce qu'ils ont écrit. Plume à la ligne, mots sur leurs lèvres, qui étaient-ils finalement? Le mystère est ce qui m'attirent chez eux... J'ai envie de les comprendre et pas seulement à travers des textes.

Héloïse trouvait il y a quelques semaines déjà, ce même plaisir, et voilà qu'il me prend à moi aussi. Cette envie de lire, de lire, de lire... Lire et me laisser porter au gré des flots de verbes, noms, adjectifs... Dans un monde où tout fluctue, dans un monde où le verbe est roi.


Pour mettre terme à l'énorme conflit S/L, nous avons réfléchis avec Nicolas...Les Sciences ne seraient rien sans les écrits... Les écrits ne seraient rien sans les sciences. L'avancée de l'humanité s'est faite en combinant parfaitement les deux parties, à parts égales, en parfaite harmonie.
Par leidenschaftetvivelavie le Lundi 12 juin 2006 à 8:39
aaaaah sylvain tu peux pas savoir comme ça fait du bien de pouvoir parler de vers, d'émotions à la lecture, d'auteurs, de lyrisme, avec des GARCONS. parce que oui messieurs, si vous saviez le nombre de filles que vous auriez sous votre coupe rien qu'en sussurant un petit poème, vous n'en reviendriez pas.
Je suis d'accord avec la citation finale, tout à fait d'accord. A MORT LE CONFLIT.
et je dis pas merci pour le bonne chance, paraitrait que ça porte malheur...^^
Par la couzine le Lundi 12 juin 2006 à 20:54
courage couzin tu va la voir tn bac!!! ta 1téré sinon.........tu mamene a ste catherine fair lé boutik!!!!!! (tu va souffrir jte promé)
 

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