Lundi 5 novembre 2007 à 20:40


Par Caro le Lundi 5 novembre 2007 à 21:15
y'a pourtant bien des gens qui aiment le philo qui n'aboutit à rien, les idées de comptoir, les morales de merde, les réconforts à deux balles. =)
Tu connais le myhte des aborigènes, le Dreamtime? éh bah d'après eux tu n'es pas vraiment toi tu n'es qu'un ombre et les fourmis vertes dirigent tout; te guident par thélépathie et dans tes rêves. La tâche sur le mur. qui sait ...?
ça c'est de la philo de comptoir qui n'aboutit à rien et c'est de la merde si tu essaies d'intérpéter.
ajourd'hui c'est lundi, il est 21h passée et si mardi à 4h00 tu es toujours réveillé pense aux fourmis vertes et laissent leur faire le travail.
Il n'y a pas que toi, chacun est un centre.
Bonne continuation!
Au fait si tu veux toujours partir, partir loin, va en Australie dans le désert et essaie d'en revenir avec des traductions plus...explicatives.Pour moi et tous ceux qui ne peuvent pas dormir qand ils ont un trop plein de rien.
Un dernier truc; comptes les fourmis!-à défaut des moutons...-
Par L'idiote du village le Lundi 5 novembre 2007 à 22:20
Je savais bien que ta réacion était pas habituelle.
D'habitude, tu aurais reconnu la plaisanterie.
Par Marie- le Mercredi 7 novembre 2007 à 21:50
Finalement tu as fait comment sans avoir vu le film Cashback ?
ça fait un moment que je te lis, j'aime beaucoup ton blog, il est différent disons. (après ce n'est que mon humble point de vue, hein !)
Par Distantwaves le Mercredi 7 novembre 2007 à 23:51
Ecoute So de Jack The Ripper. Ca ne t'aidera peut etre aucunement, mais en tout cas ça ne te fera pas de mal.
Par Nin nin le Vendredi 9 novembre 2007 à 19:14
Joyeux anniversaiaiaiaiaire !
Par Siko le Mercredi 23 janvier 2008 à 16:21
Il y a un truc que j'adore chez toi. Quand tu vas pas bien, tu parles comme Kurt Cobain. Avec autant de puissance, de violence, de véracité, et d'innocence. D'intérgrité aussi. Et d'intelligence. J'espère que tu laisseras une trace aussi durable que ce monsieur qui se retrouvait fréquemment en Littérature à ma place où à celle de Kepa. Et que dans cent ans on pourra dire, en regardant tes films : "C'était quelqu'un, Sylvain Berard..."

Je me suis toujours demandé si on payait réellement le prix du génie qui est en nous. A voir comment tu écris quand ça va pas, j'en déduis que oui.

Vraiment.
 

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