Les jours ont passé et on dirait que toute une vie s'est écoulée.
Je ne suis pas de ceux qui mettent la photo de leur copain/copine en mettant un "Je-t'aime" en dessous. Non mais!. (Donc si vous voulez me trouver en photo dans un autre blog, c'est désormais possible.)
Les nuits s'enchaînent, et les couchers, toujours plus tardifs. J'essaie de ne pas penser à la rentrée. Je n'ai pas envie d'y aller. C'est marrant les sentiments, c'est comme des gros caissons de basses. Des fois, ça boum fort.
Vendredi, je reprendrais le bus, pour aller à mon école, où j'y passerais ma vie, où j'entendrais chaque jour le terme de "métiers passions" en me demandant si c'est vraiment ça que je veux. Je scruterais mon portable pour voir l'heure défiler. J'écouterais France Inter, le soir dans le bus, ou bien un truc qui me permettra de dormir dans le bus. Certains soir, au lieu d'aller Rue de la Jalles, j'irais sûrement rue Dupaty. Et quand les autres fois, je rentrerais chez moi pour bosser (parce que oui, il va falloir s'y mettre à un moment), je regarderais ma nouvelle chambre avec satisfaction en me disant.
"C'est fini...Tu n'es plus un gamin."
Et puis qui sait...? J'arriverais peut-être -sans doute- à finir d'écrire ces deux livres.
***
Des fois, la nuit, de la musique pourrie,
ça fait énormément énormément de bien.
Un petit air électro, de techno, de trance...
Pic en haut... pour Fanny.
"Yanda est un Cacaaaaa"
Et j'ai le droit de tripper comme je veux...